Séquence poésie lyrique : dictée La froidure extrême de l'automne ne fait qu'aggraver le malheur de cette mignonne autrefois pleine de santé et de jeunesse, irr
Français
duthillouanne990
Question
Séquence poésie lyrique : dictée
La froidure extrême de l'automne ne fait qu'aggraver le malheur de cette mignonne autrefois
pleine de santé et de jeunesse, irradiant le bonheur et certaine de plaire.
A la fois mystérieuse et sûre d'elle, arborant une taille de guêpe, le cheveu brillant, l'haleine
parfumée à la fraise, la nymphe inconstante entretenait une liaison avec un jeune garçon : Clément.
Hélas ! La douleur a eu raison de sa beauté.
Un jour au rendez-vous, l'homme ne s'est pas présenté. Alors, hantée par un soupçon sournois et
insensé, la belle dame a imaginé le pire. Elle a vieilli, ses pétales se sont fanés et le tourment a remplacé la
sérénité.
Réécriture :
Réécrivez ce texte en remplaçant « cette mignonne » par « ces mignonnes » et «< Clément >> par
<< Clément et Paul »>.
Faites toutes les modifications qui s'imposent : verbes, déterminants, pronoms, adjectifs, ...
La froidure extrême de l'automne ne fait qu'aggraver le malheur de cette mignonne autrefois
pleine de santé et de jeunesse, irradiant le bonheur et certaine de plaire.
A la fois mystérieuse et sûre d'elle, arborant une taille de guêpe, le cheveu brillant, l'haleine
parfumée à la fraise, la nymphe inconstante entretenait une liaison avec un jeune garçon : Clément.
Hélas ! La douleur a eu raison de sa beauté.
Un jour au rendez-vous, l'homme ne s'est pas présenté. Alors, hantée par un soupçon sournois et
insensé, la belle dame a imaginé le pire. Elle a vieilli, ses pétales se sont fanés et le tourment a remplacé la
sérénité.
Réécriture :
Réécrivez ce texte en remplaçant « cette mignonne » par « ces mignonnes » et «< Clément >> par
<< Clément et Paul »>.
Faites toutes les modifications qui s'imposent : verbes, déterminants, pronoms, adjectifs, ...
1 Réponse
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1. Réponse badgirl12
Réponse :
Explications :
en gras : les modifications
La froidure extrême de l'automne ne fait qu'aggraver le malheur de ces mignonnes autrefois pleines de santé et de jeunesse, irradiant le bonheur et certaines de plaire.
A la fois mystérieuses et sûres d'elles, arborant une taille de guêpe, le cheveu brillant, l'haleine parfumée à la fraise, les nymphes inconstantes entretenaient une liaison avec des jeunes garçons : Clément et Paul.
Hélas ! La douleur a eu raison de leur beauté.
Un jour au rendez-vous, les hommes ne se sont pas présentés. Alors, hantées par un soupçon sournois et insensé, les belles dames ont imaginé le pire. Elles ont vieilli, leurs pétales se sont fanés et le tourment a remplacé la sérénité.